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Au pays des bisounours?

Au pays des bisounours?

Ces jours derniers je vous ai proposé sur ma page facebook un nouveau rendez-vous : la conscience en mouvement. Il existe déjà 5 épisodes accessibles exclusivement sur cette page et j’en rajouterai dès que j’ai un peu de temps.

J’y parle notamment du passage de la 3ème dimension à la 5ème dimension de conscience (si cela ne vous dit rien, courrez vite vous abonner à ma page !)

 

En 3ème dimension, nous avons tendance à subir notre vie, notre transgénérationel, nos mémoires karmiques, peut-être même nos parents, notre patron et notre conjoint. Nous sommes enfermés dans le monde de nos croyances, de la matrice. Nous avons oublié que nous sommes des êtres puissants et créateurs. Nous sommes ainsi coupés de notre âme, de l’Univers et de la Terre qui sont des sources d’abondance. Englués dans le coma terrestre, nous projetons le manque et nous détruisons les ressources terrestres et l’environnement, sans conscience de scier la branche sur laquelle nous sommes assis. 

Si je nomme à un entrepreneur vibrant en 3ème dimension que l’entreprise du futur est consciente, intuitive et reliée au cœur, il me répondra sans nul doute que je vis dans le monde des bisounours. 

Il pourra m’opposer ses contraintes, ses charges, son besoin de rentabilité, m’expliquera pourquoi il doit délocaliser sa production à l’autre bout du monde, acheminer par bateau ses produits, produire sa marchandise à grand coup de Co2, automatiser ses chaines de production, etc.  Évidemment, lorsqu’on vibre en 3D, il est difficile de penser différemment puisqu’on se trouve au cœur de la matrice… 

Je ne dis pas que la transition est facile. Mais ne pas l’envisager et ne pas accepter de se remettre en question maintenant pour développer des modes de production et des technologies non polluantes et respectueuses du vivant, c’est assurément courir le risque de se casser la figure lorsque la Terre vibrera en 5D.  

 

Tout est à repenser. Un nouveau monde a besoin de naitre, et nous devons déjà le rêver et le concevoir. 

Cela commence à notre niveau individuel : comment est notre monde ? Que créons-nous ? De quoi rêvons-nous ?

Ce changement de conscience implique aussi de réintégrer la conscience que la Terre est abondante. Elle est extraordinairement abondante. Si nous la respectons, si nous la chérissons plutôt que de la détruire, si nous apprenons à co-créer avec elle, nous pouvons vraiment créer d’autres conditions de vie sur Terre. 

Si nous mettions notre vision au service du vivant, nos talents et  capacités au service de la vie sur Terre plutôt qu’au service des énergies d’abus, de profit sans fin et nécessairement de destruction du vivant, alors s’ouvriraient à nous bien d’autres possibles. 

L’état d’abondance est naturel. Ce sont nos croyances et nos propres limitations mentales, notre propre vision étriquée du monde qui nous éloignent de cet état naturel.

S’aligner sur son plus haut potentiel, donner vie à un projet professionnel qui résonne avec notre raison d’être, et enfin l’incarner dans la matière nous conduit nécessairement vers l’abondance.  A contrario, ne pas vivre l’abondance doit nous amener à nous interroger sur notre alignement au niveau professionnel et aux ajustements à apporter. 

 

Lorsque j’ai quitté les Nations Unies, j’ai accepté de perdre un salaire très confortable et non imposable, une très bonne protection sociale et tous mes droits à la retraite pour me retrouver sans droit au chômage, confrontée au monde du RSI et des URSSAF, et sans prince charmant à l’horizon.  Je n’étais pas exactement à la fête, vous pouvez l’imaginer.  Pas du tout au pays des bisounours. 

Je me souviens qu’on m’avait dit à l’époque qu’il fallait que je me fasse une raison et que je ne retrouverai jamais un tel niveau de rémunération en tant que thérapeute. 

Et bien je me suis dit exactement le contraire. Je ne crois pas que mon âme ait initié de tels changements dans ma vie pour ne pas manifester l’abondance. 

Bien sûr ces dernières années j’ai rencontré et confronté bien des croyances limitantes. Cela ne veut pas dire que je devais m’enfermer dans un état de manque.  Ce processus de cheminement vers l’abondance  m’a fait énormément évolué et il est loin d’être fini, mais j’en tire une certitude basée sur mon expérience : si je suis alignée avec ma raison d’être et mon plus haut potentiel, et si je suis prête à partager ce que je porte au monde, alors je manifeste naturellement dans ma vie l’abondance dont j’ai besoin pour rayonner.

Plus je m’accueille, plus je manifeste l’abondance.

C’est un mystère sur lequel le mental a peu de prise. 

 

Le processus de la voie alchimique vous accompagne dans cet accueil profond de ce que vous portez et de ce que votre âme est venue manifester sur Terre. 

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